Fondée en 2005
Fondée en 2005
Dans les pays de tradition anglo-saxonne, le massage est le plus généralement reconnu, voire réglementé, sous l’intitulé de « massothérapie ».
Au Canada, le massage entre dans l’univers des professions de santé et des médecines douces ou complémentaires, aux cotés de l’acupuncture, de l’ostéopathie, de la naturopathie et de l’homéopathie.
Discipline à part entière, la massothérapie se distingue entre autres de la physiothérapie (kinésithérapie) qui, pour sa part, se dédie au rétablissement de la motricité.
Adossée aux connaissances de la médecine occidentale, la massothérapie englobe des techniques de massage qui, malgré leurs différences de philosophie et de manipulations, partagent un certain nombre de principes et de méthodes ayant pour objectifs de favoriser la détente (musculaire et nerveuse), la circulation sanguine et lymphatique, l’assimilation et la digestion des aliments, l’élimination des toxines, le fonctionnement des organes vitaux et l’éveil à une conscience psychosensorielle.
Si le périmètre de la profession est très large et fédère un ensemble de techniques aussi vaste que celui représenté par la FFMBE en France, en revanche au Canada les exigences de formation sont bien plus élevées, jusqu’à des minimas de 2200 heures de formation.
Au Québec, le programme fixé par la fédération des massothérapeutes est structuré en deux niveaux : praticien en massothérapie, accessible après 435 heures de formation et diplôme de massothérapeute nécessitant un complément de 565 heures, soit un total de 1000 heures.
Source
Article inspiré du Livre blanc pour la reconnaissance et l’encadrement des professions du massage.
Rédaction : François Cordier, responsable communication FFMBE, gérant de l’agence de communication La solution est ici, dédiée au professions du bien-être.
